2019 Sortie au théâtre
Cette année encore, le FSE du collège Charcot propose des sorties au théâtre de Fresnes. Les propositions sont en lien avec le programme des élèves et sélectionnées par l’équipe de la Grange Dimière.
Cette activité étant hors temps scolaire, les élèves restent sous la responsabilité des parents. Des adultes du collège seront au théâtre pour voir le spectacle avec les élèves et attendrons qu'un adulte vienne les chercher à la sortie du spectacle. Si des parents souhaitent venir au spectacle ils sont les bienvenues.
La grange Dimière est située au 41 rue Maurice Ténine, le billet est pris en charge par le FSE pour les élèves souhaitant venir, les places seront données aux élèves à l’entrée du théâtre.
INSCRIPTION auprès de Mme Radouane ou Mme Fernandez
Cette année encore, le FSE du collège Charcot propose des sorties au théâtre de Fresnes. Les propositions sont en lien avec le programme des élèves et sélectionnées par l’équipe de la Grange Dimière.
Cette activité étant hors temps scolaire, les élèves restent sous la responsabilité des parents. Des adultes du collège seront au théâtre pour voir le spectacle avec les élèves et attendrons qu'un adulte vienne les chercher à la sortie du spectacle. Si des parents souhaitent venir au spectacle ils sont les bienvenues.
La grange Dimière est située au 41 rue Maurice Ténine, le billet est pris en charge par le FSE pour les élèves souhaitant venir, les places seront données aux élèves à l’entrée du théâtre.
INSCRIPTION auprès de Mme Radouane ou Mme Fernandez
Samedi 8 novembre à 20h30
Et le coeur fume encore A près le succès de N o u s s o m m e s d e c e u x q u i d i s e n t n o n à l'om b r e , accueilli la saison dernière, Margaux Eskenazi signe le second volet de son diptyque sur les écritures en "pays dominé". Enfants issus de l'immigration, appelés ou militaires de métiers, enfants du FLN, fils ou filles de harkis, petits enfants de pieds-noirs... Nourris des silences entourant la guerre d'Algérie au sein de chaque famille, sept parcours de vie croiseront les récits de Camus, Kateb, Daoud ou Sartre pour raviver les mémoires et interroger nos identités. À travers une littérature de résistance et une mise en scène à la fois ingénieuse et haletante, se dessine une poétique de la décolonisation française. Un spectacle nécessaire pour panser et (re)penser nos identités françaises et l'amnésie coloniale. |
Vendredi 15 novembre à 20h30
White dog 'Mais qu'est-ce qu'il a ce chien ? " Lorsque Romain Gary et Jane Seberg recueillent Bakta dans les années 1960, en plein conflit racial américain, ils découvrent derrière l'apparente douceur de l'animal, des signes d'une incroyable monstruosité. Patiemment, le couple tente de "reconditionner" le chien chacun à sa manière, se confrontant alors à la sauvagerie d'une Amérique violente et ségrégationniste. Pour donner corps à cette histoire bouleversante, L e s A n g e s a u p l a f o n d dévoilent un univers fait de fils, de feuilles froissées ou déchirées, de sonorités afro-jazz et de magnifiques marionnettes qui embarquent le public dans un monde où hommes et bêtes pourraient parfois se confondre. Un spectacle coup de poing qui offre un regard profond sur la relation à l'autre. |
Samedi 30 novembre à 14h
In Irish Story Menée tambour battant par Kelly Rivière, cette histoire irlandaise pourrait bien être notre histoire à tous car elle aborde avec drôlerie et délicatesse un des fondements de notre identité : la famille ! Marquée par la disparition de son grand-père irlandais alors en exil en Angleterre, Kelly Rivière nous entraîne dans la folle quête de ses origines. De Paris à Dublin, de la grand-mère irlandaise au père provençal, la comédienne qui campe sur scène plus de 25 personnages, navigue entre les lieux et les époques pour donner vie à une fresque familiale passionnante, unique et universelle à la fois. Un récit haletant traversé tout entier par un humour décapant! |
Samedi 18 janvier à 20h30
McBeth Un vent de féminité souffle sur Macbeth ! Dans cette adaptation inédite de la compagnie Estrarre, cinq actrices - musiciennes s'emparent de l'œuvre pour en interpréter les rôles de toute leur force joyeuse. Une distribution jeune, cosmopolite et féminine d'où surgit une parabole sur un univers patriarcal et vieillissant, exclusivement masculin. Et voici le public à l'unisson d'un chœur de femmes, le chœur des sorcières peut-être, qui chantent, jouent, changent le décor et se costument en direct. M a c b e t h donne à voir la fuite en avant d'un roi régicide qui, pactisant avec le diable, se désolidarise du monde social. Ce Shakespeare moderne, porté par une mise en scène fougueuse et jubilatoire, vient percuter de plein fouet notre monde contemporain. |
Samedi 29 janvier à 20h30
Pas pleurer Du roman Pa s p l e u r e r de Lydie Salvayre , prix Goncourt 2014, au spectacle de Denis Paujol, il n'y a qu'un pas, ou plutôt qu'une adaptation théâtrale qui s'est imposée au metteur en scène comme une évidence. Dans ce récit, l'écrivaine raconte l'histoire de sa mère Montse, plongée dans la guerre civile espagnole, à l'été 1936. Son petit village perdu en Catalogne, rythmé par les récoltes d'olives, les mariages arrangés, les premières tentatives de collectivisation... Puis Barcelone, la guerre, l'exil... Ne pas baisser les bras, ne pas pleurer, comme la mère le répétait inlassablement à sa fille serrée contre elle. Courage et fureur de vivre auront raison de l'adversité. Le spectacle, porté par le talent de la comédienne Marie-Aurore D'Awans accompagnée magistralement à la guitare électrique, est une ode vibrante à la résistance contre la bêtise et la haine, un cri d'espoir pour des lendemains plus doux. |
Vendredi 3 avril à 20h30
Zahrbat
Dans ce solo mythique, le danseur et chorégraphe de hip-hop Brahim Bouchelaghem rend un magnifique hommage à son père immigré algérien, arrivé en France dans les années 60. C'est là qu'il va brûler sa vie au travail et autour des tables enfumées de poker. Au plateau, le danseur, gorgé d'une énergie vitale et communicative, exprime avec beaucoup de tendresse ce qu'il n'a jamais su dire à ce père qui lui a transmis une fièvre, un goût du risque et de la lumière. Au milieu des cartes qui volent, Brahim Bouchelaghem détaille chaque mouvement et lui donne du relief. Mais derrière la virtuosité du danseur, Za h r b a t nous offre un hip-hop sensible et bouleversant de sincérité.
Zahrbat
Dans ce solo mythique, le danseur et chorégraphe de hip-hop Brahim Bouchelaghem rend un magnifique hommage à son père immigré algérien, arrivé en France dans les années 60. C'est là qu'il va brûler sa vie au travail et autour des tables enfumées de poker. Au plateau, le danseur, gorgé d'une énergie vitale et communicative, exprime avec beaucoup de tendresse ce qu'il n'a jamais su dire à ce père qui lui a transmis une fièvre, un goût du risque et de la lumière. Au milieu des cartes qui volent, Brahim Bouchelaghem détaille chaque mouvement et lui donne du relief. Mais derrière la virtuosité du danseur, Za h r b a t nous offre un hip-hop sensible et bouleversant de sincérité.